Lionel Hugonnier, directeur général de Tatamiz, a créé sa société en 2003 qui, initialement, proposait des kimonos et tatamis aux judokas et adeptes des arts martiaux. « En 2010, nous avons suivi l'épisode des rappels de tapis puzzles et avons senti qu'il y avait une opportunité de développement, explique Lionel Hugonnier. Nous avons alors trouvé en Asie l'unité de production pour constituer une offre de qualité sans formamide, d'une vingtaine de références, pour laquelle nous avons acquis les licences Hello Kitty et Disney au niveau européen. » Les premières réactions de la distribution ? Frileuses… « Nous avons quand même réussi à nous placer dans quelques magasins et, à partir de là, la confiance s'est progressivement réinstallée, ajoute Lionel Hugonnier. D'autant que nos produits sont très souvent contrôlés. » Même si la licence reste une excellente clé d'entrée, l'entreprise ne souhaite pas se tourner exclusivement vers cette stratégie, travaille à l'heure actuelle sur l'élargissement de sa gamme à des produits génériques – toujours en mousse EVA –, et propose des designs spécifiques pour des marques de distributeurs.
Tatamiz secoue le tapis
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