La société allemande a fait l'acquisition du fabricant de jouets en bois suédois Brio, qui continuera d'exercer ses activités en tant que filiale, en France comme à l'international. Un rapprochement cohérent entre deux entreprises à la philosophie très proche.
« Depuis quelques années, Ravensburger s'est engagé dans un processus stratégique qui vise à développer ses activités sur de nouveaux territoires et de nouveaux segments de marché, explique Florent Leroux, directeur général de Ravensburger France. L'acquisition de Brio s'inscrit donc pleinement dans cette logique puisqu'elle nous permet d'accéder, notamment, aux marchés scandinaves, et de nous diversifier sur des activités – circuits de train en bois, préscolaire – autres que celles sur lesquelles nous intervenons, à savoir le jeu, le puzzle et les loisirs créatifs. » Les discussions ont débuté il y a environ six mois avec les investisseurs suédois de Brio qui avaient décidé de vendre l'entreprise, sachant que les deux parties étaient mutuellement intéressées par cette opération. « Brio est une société traditionnelle, comme la nôtre, nous avons quasiment le même nombre d'années d'existence, respectivement 130 et 131 ans, nos deux marques sont européennes et reconnues sur leurs marchés… Bref, ce rachat est parfaitement légitime et cohérent », souligne Florent Leroux.
Brio sera donc rattaché à Ravensburger en tant que filiale, au niveau international comme en France où le bureau parisien restera en place, avec un management distinct entre les deux entités, une organisation autonome, une structure inchangée et des équipes qui continueront à gérer leurs propres processus marketing et commerciaux. « Pour la distribution, cette acquisition ne change rien dans l'immédiat, précise Florent Leroux. Nous n'allons pas nous immiscer dans le fonctionnement de Brio France qui marche plutôt bien, même si nous allons désormais travailler en étroite collaboration pour mettre en œuvre certaines synergies en termes de logistique et d'échange de compétences et de savoir-faire afin de mener à bien notre objectif qui consiste à développer la marque. »
« Depuis quelques années, Ravensburger s'est engagé dans un processus stratégique qui vise à développer ses activités sur de nouveaux territoires et de nouveaux segments de marché, explique Florent Leroux, directeur général de Ravensburger France. L'acquisition de Brio s'inscrit donc pleinement dans cette logique puisqu'elle nous permet d'accéder, notamment, aux marchés scandinaves, et de nous diversifier sur des activités – circuits de train en bois, préscolaire – autres que celles sur lesquelles nous intervenons, à savoir le jeu, le puzzle et les loisirs créatifs. » Les discussions ont débuté il y a environ six mois avec les investisseurs suédois de Brio qui avaient décidé de vendre l'entreprise, sachant que les deux parties étaient mutuellement intéressées par cette opération. « Brio est une société traditionnelle, comme la nôtre, nous avons quasiment le même nombre d'années d'existence, respectivement 130 et 131 ans, nos deux marques sont européennes et reconnues sur leurs marchés… Bref, ce rachat est parfaitement légitime et cohérent », souligne Florent Leroux.
Brio sera donc rattaché à Ravensburger en tant que filiale, au niveau international comme en France où le bureau parisien restera en place, avec un management distinct entre les deux entités, une organisation autonome, une structure inchangée et des équipes qui continueront à gérer leurs propres processus marketing et commerciaux. « Pour la distribution, cette acquisition ne change rien dans l'immédiat, précise Florent Leroux. Nous n'allons pas nous immiscer dans le fonctionnement de Brio France qui marche plutôt bien, même si nous allons désormais travailler en étroite collaboration pour mettre en œuvre certaines synergies en termes de logistique et d'échange de compétences et de savoir-faire afin de mener à bien notre objectif qui consiste à développer la marque. »