Télétravail, activité réduite, déplacements limités… Le confinement a aussi soudainement que profondément modifié notre mode de vie, faisant resurgir quelques habitudes oubliées et révélant de nouveaux divertissements. Pour nous en parler aujourd’hui, Fabrice Aumont, directeur général d’Epoch d’enfance.
- J’habite…
« A 3 minutes de mon bureau, qui est vide depuis le 17 avril. Je m’y rends deux ou trois fois par semaine pour relever le courrier et effectuer quelques taches administratives. Mais que c’est glauque, une société vide ! Heureusement, j’ai la chance de vivre dans une maison avec jardin, et une très bonne connexion Internet via la fibre... »
- J’ai lu ou relu, vu ou revu, écouté ou réécouté…
« J’ai lu tous les textes sur le chômage partiel, les prêts garantis d’Etat… J’ai également participé à un atelier online sur la gestion de cette crise, et aussi à beaucoup de réunions via Teams avec mon équipe de confinés. J’écoute principalement la radio, en arrière-plan, quand je travaille. »
- Ce que je n’avais jamais fait avant le confinement…
« Je découvre le télétravail et, pour être honnête, je n’en étais pas fan. Mais il n’y a que les imbéciles qui ne changent pas d’avis ! J’ai d’ailleurs, pour la première fois, rencontré un nouveau client via Internet, ce qui est quand même assez bizarre pour un vendeur de base comme moi ! »
- Mes exercices quotidiens…
« Je garde un rythme habituel entre la semaine de travail et le week-end. Lever à 7h00, café/clope au téléphone avec mon codir à 10h30, des pauses dans le jardin et quelques apéros via Houseparty avec l’équipe. Et surtout pas de sport, c’est trop risqué ! »
- Ce qui me manque le plus…
« Honnêtement, le fait de pourvoir faire ce qu’il me plaît quand il me plaît. Aller chez Leroy-Merlin ou Truffaut, par exemple, moi qui je suis un bricoleur/jardinier. Prendre un café et fumer une cigarette en bas du bureau avec mon équipe. Recevoir ma famille et mes amis pour un barbecue. Aller dans ma maison dans l’Yonne. Visiter les clients sympas. Aller au restaurant… »